Les assurances vie offrent de nombreux avantages. Face aux multiples offres disponibles sur le marché, il est toutefois aisé de se perdre parmi les différentes propositions. En choisissant bien votre assureur, vous êtes sûr de bénéficier d’une couverture complète et avantageuse. Voici quelques conseils pour faire le meilleur choix.

Ne pas se laisser séduire par les taux d’intérêt

Que ce soit pour souscrire à une assurance vie en ligne ou auprès d’une structure physique, les compagnies d’assurance semblent toujours vouloir offrir des taux d’intérêt plus ou moins attrayants. En réalité, ces compagnies se donnent avant tout pour objectif de faire souscrire le plus de personnes possible. Le taux d’intérêt est l’élément clé qu’elles mettent donc en avant pour séduire les potentiels clients. 

Pourtant, ce taux peut cacher des frais annexes qui ne sont pas toujours avantageux pour l’assuré et sur lesquels l’assureur ne met pas l’accent. Gardez en tête que les contrats d’assurance vie les plus intéressants sont ceux qui demeurent avantageux sur le long terme. De ce fait, assurez-vous d’analyser les effets d’intérêts sur les prochaines années avant d’adhérer à une offre. 

Par ailleurs, prenez le soin de vous renseigner sur les différents frais qui font partie du contrat. Il s’agit entre autres des frais d’ouverture de contrat (ou frais d’adhésion), des frais de versement ou de gestion, des frais pour l’arbitrage, des frais de sortie, des frais de rupture et d’autres frais indirects. Notez que tous les contrats d’assurance ne comportent pas l’intégralité des frais mentionnés ci-dessus. De même, certains peuvent présenter d’autres frais supplémentaires. En plus, les différents frais présentés par une compagnie d’assurance peuvent être fixes ou évolutifs. Il est donc important de bien se renseigner.

Rechercher un contrat qui correspond à ses objectifs

Vous souhaitez préparer votre retraite ? Investir plus tard dans l’immobilier ? Ou encore, garantir un avenir radieux à vos enfants ? Tout cela est bien possible, mais seulement si vous optez pour un assureur que propose un contrat adapté à vos objectifs. En effet, les compagnies d’assurance sont au courant des souhaits habituels qui motivent les assurés et décident donc de se positionner sur un ou plusieurs de ces objectifs. Leurs offres d’assurances varient suivant les modes de versement, la nature des fonds, la durée de placement ou encore le type de gestion en conséquence. Le travail du futur assuré est de trouver le prestataire qui s’inscrit au mieux dans sa vision d’épargne. Cela le ramène sur un second point : la notoriété et la performance.

Vous pouvez juger de la performance d’un assureur à travers ses rendements et les services qu’il a déjà offerts. À ces éléments s’ajoute la réactivité avec laquelle il suit les contrats déjà en cours. Il faut dire que la plupart des assureurs ne prennent pas la peine de diffuser leurs chiffres lors des publicités ou des annonces sur les médias conventionnels. Cela dit, ceux qui possèdent une bonne notoriété n’hésitent pas à afficher leurs résultats sur leur blog.

Veiller à comparer les différents types de contrats

Ce qui différencie les contrats d’assurance vie, ce n’est pas seulement la nature de l’assureur. En réalité, ce genre d’assurance possède deux sous-contrats : le contrat individuel et le contrat collectif. Dans un contrat collectif, vous êtes représenté par une association composée d’autres assurés. C’est cette association qui est chargée de négocier les termes d’une éventuelle modification avec les assureurs. Sur ce dernier point, un contrat individuel se montre plus avantageux. En effet, toute modification d’un contrat individuel relève uniquement de la volonté et de l’accord du souscripteur. Enfin, prenez également en compte le type de versement.

Les modes de versement se classent aussi en deux catégories. D’abord, il y a les versements réguliers qui imposent à l’assuré d’effectuer des dépôts périodiques (pour la plupart mensuels). Ce type de versement n’est pas toujours conseillé. Même s’il a l’avantage de vous mettre une certaine pression qui vous oblige à respecter les dépôts, les interruptions de versement sont généralement accompagnées de pénalités. Par contre, les contrats qui proposent un versement libre vous offrent la possibilité d’alimenter votre compte comme vous le souhaitez. Vous pouvez diversifier les dépôts, effectuer des virements répétés ou cesser d’épargner lorsque vous êtes en mauvaise posture.


Depuis quelques années, l’extraordinaire engouement pour les drones est bien concret. En effet, outre l’utilisation par les particuliers, les professionnels de divers secteurs sont également concernés. Il existe actuellement une législation concernant les usages des drones, car leurs conditions d’utilisation font l’objet de nombreux débats. Selon la loi, les drones professionnels doivent être couverts. Et ce, par une assurance spécifique. Si vous souhaitez acheter un drone, il est important de connaître les lois concernant sa possession et son utilisation ainsi que l’assurance adéquate. Si vous souhaitez en savoir plus, ce guide vous fournira toutes les informations dont vous avez besoin.

Utilisation d’un drone : y a-t-il des risques ?

La popularisation des drones professionnels, et même des drones de loisirs, suscite des discussions sur les conditions de leur utilisation. Les drones doivent, en effet, respecter certaines règles pour éviter les dommages et accidents qu’ils causent à autrui. Le drone n’est autre qu’un petit appareil télécommandé mis sur le marché depuis l’année 2012. C’est un petit engin qui séduit de plus en plus d’amateurs, mais aussi de professionnels. C’est aussi une excellente idée de cadeau, très tendance, accessible à un prix raisonnable. Le drone présente cependant une utilisation qui comporte des risques. C’est pourquoi il crée, de fait, des besoins d’assurance. En effet, plusieurs compagnies d’assurance proposent déjà une couverture pour les avions et hélicoptères miniatures. Il faut cependant savoir que ces derniers n’ont pas le même statut que le drone. Pour assurer un drone, il faut un autre type d’assurance. Une assurance qui peut couvrir les bris ou les blessures causés par un drone. Dans tous les cas, comme son utilisation présente des risques, soyez-en conscient avant de l’utiliser. Par ailleurs, sachez qu’en visitant visitant cette page, vous découvrirez le type d’assurance le plus adapté. C’est-à-dire, l’assurance drone professionnel à laquelle vous pouvez souscrire.

Drone professionnel : quelle est la loi en vigueur ?

Comme mentionné précédemment, il existe des règles qui régissent l’utilisation d’un drone. A noter que le drone professionnel est à l’origine un objet utilisé dans le cadre militaire. Il s’agit donc d’un appareil volant sans pilote. Auparavant, il est destiné au divertissement. Mais, il existe désormais des drones dédiés à un usage professionnel à des fins commerciales. Il faut savoir que les responsabilités liées à l’utilisation d’un drone professionnel sont innombrables. Il faut bien s’informer avant de penser à en piloter ou à en utiliser un. L’idée est de découvrir, mais aussi de comprendre les prescriptions qui entourent le recours à ce petit objet volant. Il en va de même pour les normes en vigueur. Concernant la loi, un propriétaire de drone professionnel a l’obligation de faire une déclaration de son activité. Cette démarche doit être effectuée auprès de la Direction générale de l’aviation civile. Cette déclaration doit être renouvelée tous les deux ans. Par la suite, concernant le pilotage de ce type de drone, la législation exige que le propriétaire soit en possession d’un certificat d’aptitude de pilote d’aéronef. Ce certificat n’est pas attribué à n’importe qui. En effet, pour l’obtenir, il faut remplir un QCM pendant une heure et trente minutes. La loi est également stricte concernant la hauteur d’un vol de drone professionnel. Chaque vol ne doit pas dépasser une altitude de 150 mètres au-dessus du sol. Sachez également que prendre des photos d’une tierce personne n’est autorisé qu’en dehors des zones urbaines.

Pourquoi souscrire une assurance drone ?

Souscrire une assurance drone professionnel est utile. Bien sûr, les particuliers ne sont pas obligés d’y souscrire. Mais, lorsqu’il s’agit d’une utilisation professionnelle de cet appareil télécommandé, une couverture adaptée est nécessaire. Les pilotes de drones professionnels sont donc tenus de choisir un contrat d’assurance. L’objectif est de recevoir une indemnisation dans le cas où leur pilotage provoque des dommages. La couverture responsabilité civile d’un pilote de drone est donc cruciale. De plus, si vous négligez cette assurance, vous serez obligé d’indemniser vous-même les victimes des dommages dont vous êtes responsable. Ces derniers peuvent souvent être coûteux si les dommages causés sont importants. Il faut noter que les photographes, les documentalistes et autres professionnels doivent souscrire à cette assurance. Par la suite, il faut savoir que l’assurance drone comprend des garanties intéressantes. Il s’agit principalement de la garantie responsabilité civile aérienne et de la garantie responsabilité civile professionnelle. La première couvre les dommages corporels et matériels causés par le drone. Par ailleurs, la seconde couvre les différents risques liés à l’activité que le professionnel exerce.

En ce qui concerne l’assurance qui peut couvrir les dommages causés par un drone !

Le choix d’une assurance drone professionnel est idéal afin de couvrir les dommages que votre matériel peut causer. Vous devez adhérer à différents assureurs, vous renseigner sur cette couverture et y souscrire avant de commencer votre activité. Présente dans plusieurs compagnies d’assurance, l’assurance drone professionnel est très utile. Elle vous permet de bénéficier des garanties mentionnées ci-dessus. Elle vous permet également de souscrire à des garanties optionnelles en plus des formules classiques ou de base. Plus précisément, votre souscription à cette assurance vous permet de bénéficier d’une garantie de la casse du drone. Il y a également la garantie des équipements connexes, à savoir la caméra, les capteurs, etc. Il est même possible de bénéficier d’une garantie couvrant le matériel transporté selon le type d’assurance souscrit. Généralement, il existe des exclusions de garantie comme pour les autres types d’assurance. Avant de souscrire, il est important d’être bien informé afin d’éviter les mauvaises surprises. Ainsi, gardez à l’esprit que l’assurance drone ne couvre pas le cas où un télépilote serait poursuivi pour violation de la vie privée. En d’autres termes, si vous prenez une vidéo d’une personne avec votre drone sans son consentement dans un lieu privé, elle peut vous poursuivre en justice. Dans ce cas, il est tout à fait possible que vous deviez payer une amende ou même faire face à un an de prison en plus. De ce fait, choisissez bien votre assurance drone en tenant compte de nombreux critères. Renseignez-vous également sur le prix de cette assurance pour éviter toute déception.

La Sécurité sociale ne prenant en charge qu’une partie des frais de santé, il est indispensable de disposer d’une mutuelle santé. Celle-ci vous permet de bénéficier de meilleurs remboursements de vos dépenses de santé. Il n’est pas rare de craindre le coût d’une complémentaire santé sur son budget. Pourtant, il est possible de trouver des offres complètes à des prix tout à fait accessibles.

 

La concurrence est rude sur le marché de la complémentaire santé. Les prix peuvent varier considérablement d’une mutuelle à une autre avec des garanties similaires. Si vous souhaitez souscrire à une assurance santé, le mieux est de prendre le temps de comparer les multiples offres disponibles sur le marché.

 

Il existe une grande variété de comparateurs sur Internet vous permettant, en quelques clics, de connaître le coût d’une mutuelle santé. Pour en trouver une qui n’est pas chère, il ne faut pas hésiter à les utiliser tout en veillant à ce que les offres reçues répondent parfaitement à votre situation. Avant de vous lancer dans cette opération, vous devez identifier avec précision :

 

 

Bon à savoir : Comparez ce qui est comparable !

Les montants remboursés par les mutuelles santé sont exprimés soit en pourcentage par rapport au tarif de convention de la Sécurité sociale soit sur la base d’un forfait. Mieux vaut être vigilant pour choisir la complémentaire santé qui vous offre le meilleur remboursement.

 

Optez pour votre mutuelle d’entreprise

 

Si vous travaillez dans le secteur privé, votre employeur a l’obligation de vous fournir une assurance santé qui comprend un panier de soin minimum dont :

·       L’intégralité du ticket modérateur sur les consultations et actes remboursés par la Sécurité sociale ;

·       La prise en charge de la totalité du forfait journalier hospitalier.

 

Choisir cette mutuelle peut être intéressant, car votre employeur doit financer, a minima, à hauteur de 50 % la cotisation de la complémentaire santé. Cela permet bien souvent de réaliser de substantielles économies sur votre budget santé si les garanties contractuelles répondent à vos besoins.

 

                                   Bon à savoir : Qu’en est-il pour les salariés de la fonction publique ?

À compter de 2022, les employeurs publics auront l’obligation, comme les employeurs privés, de financer, a minima, 50 % le coût d’une mutuelle santé pour chaque fonctionnaire. Cela contribuera à améliorer leur protection santé.

 

La complémentaire santé est un incontournable pour bénéficier d’une prise en charge optimale de vos frais de santé. Elle ne doit pas être choisie à la légère, car elle engage des frais chaque mois qui peuvent avoir un impact non négligeable dans votre budget. Comparer est le maître mot pour vous permettre de trouver l’offre la plus adaptée à votre situation tout en préservant votre portefeuille. 

L’assurance dommage ouvrage est une garantie décennale qui profite au maître d’ouvrage en cas de sinistre. Sa souscription permet de couvrir intégralement les dépenses à engager pour la réparation des dommages constatés. Ce guide vous apportera toutes les informations utiles à connaître sur ce type d’assurance. Étant donné que sa souscription est obligatoire, vous devez comprendre parfaitement ses principes et fonctionnements. De plus, cela vous permet de bien préparer tous les documents exigés par l’assurance avant le lancement des travaux.

Qu’est-ce que l’assurance dommage ouvrage ?

L’assurance dommage ouvrage est imposée à tout maître d’ouvrage qu’il soit propriétaire, vendeur ou mandataire du propriétaire de la construction. Contrairement à la RCD ou responsabilité civile décennale, le dommage ouvrage est à la charge exclusive de celui ou ceux qui sont à l’origine de l’ouvrage en question. Ainsi, il concerne aussi bien les particuliers que les personnes morales. Il est important de préciser que ce type d’assurance garantit directement la construction sans se demander si les dommages résultent d’une erreur du constructeur ou non. Pour cela, il faut que la souscription au dommage ouvrage soit effectuée avant même le démarrage des travaux. Ce qui signifie que le maître d’ouvrage doit préparer tous les documents requis par l’assureur.

Généralement, cette assurance prend effet à partir de la date de réception des travaux et valable pendant 10 ans. Ainsi, au cas où un sinistre surviendrait durant cette période, l’assureur doit prendre en charge entièrement toutes les dépenses nécessaires. Cette garantie décennale concerne tous les dégâts ou dommages qui mettent en question la solidité de l’ouvrage ou empêchent son utilisation. Il peut s’agir notamment de l’effondrement de la toiture, fissuration des murs, problème d’isolation thermique ou infiltration d’eau.

L’obligation de souscrire à l’assurance dommage ouvrage

Au même titre que l’assurance RCD, le dommage ouvrage est également obligatoire. Il est encadré par la loi Spinetta qui est en vigueur depuis 1978. L’article L242-1 du code des Assurances apporte toutes les précisions nécessaires à connaître sur cette obligation. Que vous soyez le propriétaire d’un immeuble, une entreprise, un particulier ou un promoteur immobilier, vous êtes tenu de souscrire à l’assurance dommage ouvrage. Même le syndicat de propriété ne peut pas en échapper.

Si vous avez un projet de construction d’une maison neuve ou si vous envisagez de faire des travaux de réhabilitation, il ne faut pas oublier de souscrire à cette assurance. Il en est de même pour les projets d’extension. Du moment que les travaux de rénovation touchent la structure de l’immeuble comme les murs, la toiture ou les escaliers, il ne faut pas tarder à prendre contact avec votre banquier, votre compagnie d’assurance ou s’adresser directement à un courtier spécialisé agrée par la compagnie.

Si jamais l’assurance refuse d’accéder à votre demande, n’hésitez pas de faire un recours auprès du BCT ou bureau central de tarification. Ce dernier pourra négocier la tarification avec l’assureur. Notons que la non-souscription à l’assurance par les particuliers n’entraîne pas nécessairement des sanctions financières. Cependant, les demandes de financement risquent d’être refusées par la banque. Quant aux professionnels comme les promoteurs immobiliers, des sanctions pénales peuvent s’appliquer : amende de 75 000 € jusqu’à une peine d’emprisonnement.

Quel intérêt de souscrire au dommage ouvrage ?

Avant tout, il est à préciser que cette garantie ne profite pas uniquement au maître d’ouvrage. Elle est transférée automatiquement aux futurs propriétaires du bâtiment assuré. Les avantages de souscrire à l’assurance dommage ouvrage sont nombreux. En cas de sinistre, vices apparents ou dommages ayant un impact sur la solidité ou stabilité du bâtiment, toutes les dépenses de réparations seront à la charge exclusive de l’assureur. Ce qui est très intéressant, car il n’est pas nécessaire de justifier l’erreur du constructeur pour obtenir gain de cause.

Dans le cadre d’un litige mettant en jeu la responsabilité civile décennale, vous serez immédiatement remboursé par l’assurance. Ce qui vous permet de gagner du temps, car vous n’êtes pas obligé d’attendre la décision du tribunal pour vous faire indemniser.

Si jamais un sinistre survient et que vous n’avez pas souscrit préalablement à l’assurance dommage ouvrage, vous devez prouver que le constructeur a fait des erreurs sur le chantier. Le but est dans ce cas de faire jouer la responsabilité civile décennale du professionnel. Ce qui peut coûter assez cher, sans parler du temps que cela va prendre.   

Comment souscrire à l’assurance dommage ouvrage ?

Pour souscrire au dommage ouvrage, vous pouvez passer immédiatement auprès de la compagnie d’assurance. Il est aussi possible de recourir à un courtier spécialisé. Cette seconde solution est de plus en plus privilégiée par les maîtres d’ouvrage compte tenu de ses nombreux avantages. En effet, le courtier peut négocier un meilleur tarif tout en vous apportant des conseils dans la préparation ou la gestion de votre dossier. Cette négociation est souvent nécessaire compte tenu du prix assez élevé de la prime d’assurance. Ce qui s’explique par le risque à couvrir qui est assez important.

Lors de la souscription à l’assurance, vous devez fournir quelques documents à savoir, la déclaration d’ouverture de chantier ou DOC, permis de construire, les plans de la construction ou des rénovations, les offres signées, les devis ou le contrat, l’attestation RCD de l’entrepreneur ou du maître d’œuvre ainsi que l’attestation RT 2012 qui concerne la réglementation thermique. À la fin du chantier, d’autres pièces sont à fournir pour ne citer que le décompte général définitif, les factures finales, le PV de réception global et éventuellement le PV de levée des réserves.

Que faire en cas de sinistre ?

Le fonctionnement de l’assurance dommage ouvrage est assez simple. Au cas où un sinistre surviendrait, vous devez faire immédiatement une déclaration auprès de l’assurance par lettre recommandée avec accusé de réception. Pour être valable, votre demande doit contenir certains renseignements obligatoires comme le numéro du contrat d’assurance ou l’avenant, le nom complet du propriétaire avec son adresse exacte, la date de première occupation des lieux et surtout la date de constatation des dommages avec une description précise et détaillée.

La compagnie d’assurance dispose de 60 jours pour répondre à votre déclaration. En cas d’acceptation, elle vous présente une offre d’indemnisation dans un délai de 30 jours. Après votre validation, le règlement s’effectue dans les 15 jours. Si le délai n’est pas respecté, vous avez le droit d’engager immédiatement les travaux à condition d’informer préalablement l’assurance de votre intention. Il peut arriver également que l’offre ne corresponde pas à vos attentes. Dans ce cas, il faut faire appel à un expert pour réaliser une contre-expertise.

Notons qu’après l’indemnisation, l’assureur doit s’adresser au constructeur qui est reconnu à l’origine des dommages. Le but de cette approche est de réclamer un remboursement.

 Un courtier en assurance travaille avec des personnes morales et physiques pour leur guider et encadrer en matière des garanties et couvertures. C’est un médiateur spécialiste qui assure des prestations de services au nom des clients spécifiques. Qu’est-ce qu’un médiateur en assurance auto ? Quels sont les rôles et attributions d’un courtier ? Quelles sont les prérogatives obtenues en engageant un courtier ? Comment faire pour devenir courtier en assurance auto ?

Qu’est-ce qu’un par médiateur en assurance ?

Le courtage est une pratique rencontrée au sein des différentes activités, affaires immobilières, assurance. Un courtier en assurance est un professionnel recherché par des compagnies et particuliers. Un courtier en assurance auto est un individu professionnel prestataire des services indépendant. C’est un individu particulier qui exerce une activité connue sous le nom de courtage. Il travaille pour son propre relevé. Un courtier est un intermédiaire entre les particuliers et les compagnies d’assurance. Il intervient également entre une personne morale et un assureur. C’est un spécialiste disposant d’un numéro d’immatriculation professionnel. Il est officiellement inscrit à l’ORIAS ou l’Organisme pour le Registre des Intermédiaires en Assurance.

Cet organisme spécialisé fournit les codes permettant aux courtiers d’exercer librement leur profession. Comme les autres professionnels assurant des activités, le courtier gagne ses pourcentages de la part des compagnies d’assurance. Ses commissions sont déterminées suivant les contrats qu’il a passé avec la compagnie d’assurance. Ce spécialiste expérimenté en courtage est aussi un collaborateur partenaire fidèle auprès d’une compagnie. Des entreprises et des sites spécialisés en courtage sont accessibles et visitables sur internet. Pour trouver un courtier confirmé la visite d’un sitewww.netvox-assurances.fr est nécessaire. Comme les autres sociétés de courtage le courtier en assurance possède des rôles et attributions spécifiques.  

Quels sont les rôles et attributions d’un courtier ?

Un courtier en assurance auto joue tout d’abord le rôle d’un intermédiaire facilitateur entre une compagnie d’assurance et les propriétaires des véhicules. Ce professionnel a un rôle important pour trouver le contrat d’assurance plus couvrant pour ses clients. Il est chargé d’étudier les offres de couverture avant de donner son avis concernant la couverture appropriée et bénéfique pour les particuliers. Son rôle est aussi de conseiller et aider les clients pour la prise de décisions. Le rôle d’un courtier est d’assurer la négociation entre l’assureur et l’assuré. Il assure donc le rôle d’un médiateur conseiller auprès des parties concernées. Le courtier assurance possède des attributions administratives biens distinctes.

Il négocie toutes les procédures administratives auprès de l’assureur concernant la souscription. C’est lui qui s’occupe la vérification de tous les documents obligatoires et nécessaires fournis par les clients avant la transmission finale à la compagnie. Il est chargé des analyses de risques. Il doit être présent lors de la signature du contrat d’assurance. Son attribution consiste à aider les clients dans la gestion des sinistres survenus. En fait, les rôles et attributions d’un courtier en assurance auto est de suggérer à son client la police d’assurance la plus appropriée à son profil. C’est son rôle administratif et financier. Des avantages peuvent être acquis en engageant ou faire appel un courtier en assurance.

Quelles sont les prérogatives obtenues en engageant un courtier ?

Faire appel à un courtier en assurance pour s’occuper la garantie de son véhicule est une pratique bénéfique. Le système de courtage permet de gagner de temps pour les particuliers. Le courtier en assurance offre de services permettant aux personnes intéressées de bénéficier d’assistance et des conseils en matière d’assurance. Engager un professionnel, un courtier expérimenté apporte également un gain d’argent ou une petite économie.

Car il peut, par le biais de son analyse personnelle, trouver un tarif moyen compétitif adapté aux besoins des clients. Le courtier peut se charger un suivi permanent de l’avancement de la souscription. Engager un courtier en assurance permet de se protéger face aux influences des grandes compagnies. Le métier d’un courtier est libre et indépendant. Mais comment faire pour devenir courtier en assurance ?         

Comment faire pour devenir intermédiaire en assurance ?

Il est important de préciser que tout particulier intéressé peut exercer le métier d’un courtier en assurance après avoir suivi une formation appropriée durant une durée bien déterminée. Mais les personnes désirant devenir courtiers doivent avoir quelques compétences et connaissances personnelles. Pour devenir un courtier assurance tout candidat intéressé doit suivre des formations initiales concernant la fonction des médiateurs. Il doit avoir des connaissances et des compétences spécifiques des aptitudes personnelles. La maîtrise de communication est une des aptitudes personnelles importantes.

Les approches communicatives sont indispensables en matière de courtage. Savoir négocier, savoir persuader des clients sont des pratiques nécessaires pour un courtier. Mener une négociation auprès des clients avec des documents et offres intéressantes fait partie d’une méthode efficace. Pour être un courtier en assurance l’intéressé doit suivre une formation juridique et commerciale. Un individu désirant être courtier doit assister un programme de formation de base. Il doit également établir une demande d’inscription pour être convoqué à l’examen. Cette demande lui autorise déjà de préparer préalablement et personnellement un examen de certification pour les référentiels de compétences. À l’issu de son examen un certificat délivré lui permet d’obtenir un permis autorisant d’exercer le métier d’un courtier.

Avec le développement du marché d’assurance, on peut se perdre pour trouver la compagnie qui répond à nos besoins. Heureusement que vous pouvez avoir accès au service d’un courtier qui vous fera gagner du temps. De plus, il y a les courtiers d’assurance multispécialiste qui offrent de meilleures solutions pour tous les clients.

Les avantages de passer par un courtier multispécialiste 

D’abord, vous devez savoir qu’un courtier en assurances n’est pas un personnel d’une compagnie d’assurance. Il agit pour le compte du client, c’est-à-dire vous. Le courtier vous met en relation avec le service assurance et négocie le contrat à votre place. Un courtier d’assurance multispécialiste est ouvert à tous les clients. Que vous soyez un particulier ou une entreprise, que ce soit dans n’importe quel domaine, un courtier d’assurance vous offre un gain de temps et d’argent. Expert dans son domaine, le courtier connait toutes les ficelles du marché. Dépendant de votre projet et de vos besoins, il peut faire une comparaison des offres.

En outre, il connait mieux les risques que vous pourriez encourir et pour lesquels vous devriez être couvert. Par exemple, une assurance multirisque professionnel recouvre l’ensemble des biens et risques professionnels d’une entreprise. Pourtant, le contrat sur ce genre de souscription doit être fait sur-mesure. Et un courtier en assurance passera au peigne fin les articles du contrat à votre place. Cliquez ici pour accéder aux conseils des spécialistes selon vos besoins.

Comment choisir son courtier d’assurance

Le rôle du courtier est de vous mettre en contact avec une compagnie d’assurance. Il vous en faut un professionnel et qui est une personne de confiance. Il faut obligatoirement qu’il soit immatriculé par une structure légale et compétente. Pour cela, vous pouvez déjà commencer par faire des recherches sur les courtiers qui travaillent dans votre région. Comparez les offres et les coûts de services. Mais voyez aussi les expériences du courtier dans le domaine.  Prenez-rendez-vous. À cette étape, vous pouvez déjà voir que certains courtiers sont plus disponibles que d’autres. Le fait qu’un courtier soit disponible et joignable à tout moment, surtout en cas d’accident et d’urgence, est un critère primordial.

Avant de souscrire une assurance professionnelle ou une assurance flotte automobile, vous avez besoin de faire une évaluation des risques et un calcul de coûts. Vous devez miser sur un courtier en assurance qui vous propose des solutions claires et compréhensibles. Un bon courtier doit faire preuve d’une totale impartialité vis-à-vis des offres et des conseils qu’il propose. Plus facile encore, vous pouvez trouver un courtier d’assurance multispécialsite en ligne. Ces sites internet vous mettent un formulaire à remplir. Un conseiller va prendre contact avec vous par téléphone. Une fois qu’il aura plus de détail sur votre « profil », il sera en mesure de vous proposer le service d’assurance qui correspond mieux à vos attentes.

Comment se paie un service de courtier d’assurance ?

Suivant le code de la consommation, le courtier d’assurance ne peut exiger aucune rémunération tant que la souscription d’assurance n’aura pas été déposée. Son service auprès de son client peut être gratuit. Dans ce cas, il ne prend que sa commission auprès de la compagnie d’assurance. Cette commission va dépendre de la compagnie, du profil du client et du volume d’affaires.

Par contre, s’il se rémunère auprès du client, il a le devoir de communiquer ses tarifs durant sa prospection. Le coût dépend de la complexité des besoins et de la catégorie d’assurance recherchée. En outre, pour souscrire une responsabilité civile pro, par exemple, les tarifs ne sont pas les mêmes pour un courtier d’assurance classique et un en ligne. Quoi qu’il en soit, vous pouvez négocier les honoraires facturés par votre courtier.

 

En matière d’assurance au Havre, le choix de la compagnie à contacter n’est jamais évident. Face aux nombreuses offres proposées sur le marché, il vaut mieux faire une étude comparative afin de trouver une formule adaptée à vos besoins en couverture. Bien entendu, plusieurs critères de sélection devront également entrer en compte. Pour vous aider, découvrez les points à vérifier lors du choix d’un assureur.

Vérifiez les services proposés

Lorsqu’il est question de choisir une assurance au Havre, les garanties incluses dans le contrat proposé sont certainement les premiers éléments à contrôler. Prenez le temps de vous renseigner sur les garanties basiques, c’est-à-dire celles qui sont obligatoires, et les garanties facultatives (notamment celles qui peuvent vous servir, mais qui gonflent le montant des cotisations). Assurez-vous que le niveau de couverture proposée par les formules présentées par la compagnie soit adéquat à vos réels besoins. La diversité des formules (basique, intermédiaire ou premium) et de leur tarif respectif est également à vérifier afin de trouver une offre répondant à votre budget.

Le piège lors de la souscription réside souvent dans les exclusions de garanties et les limites d’assurance. Ces informations sont généralement négligées par les épargnants et pourtant, elles peuvent grandement servir. La règle est simple : plus les exclusions sont nombreuses et moins le contrat sera performant. Prenez donc le temps de lire attentivement les conditions générales du contrat pour vous assurer que les clauses vous conviennent avant de signer. Pour vous simplifier la tâche lors de la prospection, utilisez un comparateur d’assurances au Havre en ligne.

Tenez compte du SAV, du tarif et des franchises

Afin de trouver une compagnie d’assurances au Havre capable de vous proposer un contrat adapté à vos besoins et vos moyens, il convient d’évaluer la qualité de son service après-vente. Il s’agit notamment de la réaction et l’efficacité de son équipe en cas de sinistre. Avant de vous engager, demandez toujours à votre futur assureur les délais prévus pour l’intervention d’un expert ou d’un enquêteur sur place. Ceci afin d’accélérer l’indemnisation suite à un désastre.

Choisissez par ailleurs une compagnie qui vous propose différentes possibilités vous évitant d’avancer les fonds pour la réparation des dégâts couverts. Dans cette même optique, le montant des franchises devra retenir votre attention. Il s’agit d’une somme que la compagnie retient lors d’une indemnisation. Vous pouvez négocier une franchise absolue ou relative selon les risques à couvrir. Les conditions de remboursement peuvent être difficile à comprendre c’est pourquoi il faut rester vigilant quant au choix. Lorsque la franchise est relative, les dégâts avec un coût inférieur au montant de la franchise sont à la charge de l’assuré. Un remboursement dès le premier franc est possible si le montant des dommages est supérieur à celui de la franchise.

Astuces pour dénicher la bonne compagnie d’assurance

Avant de vous décider à souscrire auprès d’un assureur, il faut considérer le prix du contrat qu’il propose. Bien entendu, une offre plus onéreuse ne signifie pas forcément que vous bénéficierez d’une prise en charge optimale. Cela peut seulement indiquer des prestations supplémentaires incluses dans le contrat. Si ces dernières ne vous conviennent pas, la couverture ne vous sera d’aucune utilité.

En réalité, il est plus prudent de choisir une compagnie en fonction de votre situation personnelle et de vos besoins. Pour cela, il faudra comparer les différentes propositions. Afin de mieux décider, vous pouvez effectuer une demande de devis en ligne et trouver les meilleures offres.

La proximité avec votre compagnie d’assurance peut également s’avérer essentielle, car tous les problèmes ne se règlent pas par téléphone ou par mail. Il est donc nécessaire, dans certaines situations, de se déplacer pour négocier des clauses ou avenants plus avantageux. Un assureur situé à moins de 50 km de votre domicile ou bureau permet donc de réduire les frais de déplacement.

 

Un changement de situation personnelle peut avoir un impact sur de nombreux aspects de la vie courante. Il arrive à titre d’exemple qu’elle change les besoins d’une personne en matière d’assurance habitation. Un souscripteur peut donc être amené à changer ou résilier son contrat d’assurance habitation. Mais la question qui se pose est : est-il possible de résilier ou de changer de contrat d’assurance habitation en cours d’année ? Pour y répondre, il est indispensable de connaître ce qu’en dit la législation française sur le sujet.

Que dit la loi sur le changement et la résiliation de contrat d’assurance ?

Dans le but de renforcer les droits des consommateurs, la loi française en matière de résiliation de contrat d’assurance que ce soit pour l’auto ou l’habitation a beaucoup évolué ces dernières années. Selon la loi Hamon de 1er janvier 2015, il est désormais possible de résilier son d’assurance habitation à n’importe quel moment après un an de souscription. Aucuns préavis ni frais de pénalités ne sont ainsi à prévoir une fois la date de premier anniversaire de la souscription passée. En ce qui concerne le changement d’assurance habitation en cours d’année, il est également envisageable de l’effectuer en cas de changement de la situation personnelle ou professionnelle. Des sites comme assurance-auto-habitation-immediate-en-ligne.com/ proposent d’ailleurs des solutions alternatives à l’assurance habitation.

Comment changer d’assurance habitation ?

Ce changement de situation peut en effet modifier les risques couverts par le contrat, soit en les augmentant soit en les diminuant. Pour changer son contrat d’assurance habitation suite à un changement de situation personnelle, il suffit d’informer son assureur par lettre recommandée avec accusé de réception. Vous aurez alors un délai allant de 15 jours pour une augmentation de risque à couvrir à 3 mois dans le cas d’une diminution, pour informer l’assureur. La compagnie d’assurances effectuera la résiliation un mois après réception de la lettre. Toutefois, durant cette période d’attente, aucune carence ne doit exister afin d’éviter de devoir rembourser soi-même les frais encourus en cas de sinistre.

Quels sont les motifs de résiliation d’une assurance habitation ?

Les motifs légaux pour la résiliation d’une assurance habitation peuvent être multiples. Ils pourraient, à titre d’exemple, s’agir d’un déménagement ou des travaux à effectuer dans l’urgence dans l’habitation, d’un licenciement ou d’un départ à la retraite ou encore d’un décès de l’assuré. La résiliation peut également survenir suite à un revers de fortune qui compromet le versement de la cotisation ou après un litige dû à un sinistre mal indemnisé, un remboursement tardif ou encore une simple perte de confiance envers sa compagnie d’assurances.

Les causes du conflit avec un assureur peuvent être dues au refus de couvrir l’assuré en cas d’accident, à la proposition d’indemnisation, à la l’augmentation de tarif, les couvertures non conformes au contrat… Quelles que soient les raisons du conflit, il y aura toujours une solution que vous pouvez essayer avant de vous déclarez vaincu.

Régler le litige à l’amiable

Il est préférable d’essayer d’arranger les choses en dialoguant avec votre assureur pour trouver un terrain d’entente. Pour cela, vous pouvez contactez le service clientèle par téléphone ou vous pouvez aussi prendre directement rendez-vous avec un agent de ce service. Pour faire part de votre insatisfaction, vous avez le droit d’envoyer les preuves de votre affirmation et faire votre demande pour résoudre ce désagrément. Toutefois, l’assurance dispose d’une durée de 2 mois pour répondre à votre requête. En attendant la résolution du litige avec son assureur, il est mieux de trouver une assurance dans l’immédiat comme Assurance En Direct qui propose des contrats de type auto, moto ou habitation en quelques clics seulement.

Faites appel à un expert

Si le règlement à l’amiable n’a pas donné de suite et que vous n’avez pas encore entraîné l’affaire au tribunal, vous pouvez contacter un médiateur indépendant. L’expert a besoin des pièces justificatives en rapport avec l’affaire, le nom de l’assureur, votre numéro de contrat, la date de l’accident, les raisons du conflit… L’attente de résultat peut durée jusqu’à quelques mois. Si jamais l’avis du médiateur est négatif, vous avez toujours le droit de saisir les tribunaux.

Si votre compagnie d’assurance est membre de la Fédération Française de l’Assurance, elle peut porter l’affaire au tribunal si l’avis du médiateur ne la satisfait pas. Par contre, si votre assureur est enregistré au Groupement des entreprises mutuelles d’assurances, il doit accepter l’avis du médiateur.

Attaquez en justice

Cette étape n’est conseillée qu’après avoir essayé de régler le litige en amiable et après avoir sollicité un médiateur, mais que le résultat reste défavorable. Vous allez peut-être perdre beaucoup de temps et vous allez devoir vous préparer à dépenser une énorme somme d’argent pour attaquer en justice une grande entreprise. Il faut se référer soit au tribunal de grande instance soit au juge de proximité en fonction du montant du litige. Solliciter un avocat est facultatif sauf s’il s’agit d’une affaire à traiter par le tribunal de grande instance c’est-à-dire l’indemnisation va au de là de 10 000 euros, car il est évident que l’assurance soit présentée par un avocat très compétent.

Entre les accidents imprévus dans un logement, comme les incendies, les inondations ou encore les cambriolages, il est recommandé de souscrire une assurance habitation. Souscrire à une assurance habitation n’est pas un acte obligatoire, mais nécessaire. D’ailleurs, bons nombres de personnes ne connaissent pas encore l’utilité de ce type d’assurance et de son fonctionnement. Alors, avant de penser à souscrire une assurance habitation, il est toujours utile de s’informer sur les contrats d’assurances habitation. Il y a mêmes diverses façons de tout savoir sur ces contrats.

Rechercher en ligne

Comparer les contrats d’assurances habitation demande de se munir de méthode perspicace pour en avoir des informations utiles. Une des méthodes très pratiques de s’informer sur les contrats d’assurances habitation est de faire ses recherches en ligne. Le web dispose d’ailleurs, de diverses manières d’obtenir ce type d’information.

Un lecteur curieux, ou un futur assuré peut effectivement, tout savoir sur les contrats d’assurances habitation avec les articles ou les rédactions sur le net qui parlent du sujet. Il peut s’agir, par exemple, d’article de blog, d’article de magazine, de fiche ou guide pratique sur les contrats d’assurance. Il se peut que ces articles parlent de conseils, des différents contrats d’assurances habitation, de début du contrat, des garanties de recouvrement dans le contrat, de résiliation de contrat, de changement de contrat d’assurance habitation. Vous pouvez d’ailleus disposer de plus de renseignements sur assurance-auto-habitation-immediate-en-ligne.com.

Utiliser un comparateur d’assurance

Un comparateur d’assurances habitation est un outil de comparaison des assureurs dans le domaine, considérés les meilleurs. Entre ces assureurs, sont compris dans la comparaison : les services proposés, le fonctionnement, la modalité de souscription, les garanties de couverture en cas de sinistre, et même le tarif de souscription.

Cette méthode permet donc au lecteur de comparer les contrats d’assurances habitation à sa disposition. Il pourra ainsi, choisir une assurance qui répond à ses besoins. D’ailleurs, plusieurs comparatifs d’assurances habitation sont disponibles et consultables en ligne.

Approche direct

Les méthodes en ligne et le comparatif d’assurances habitation permettent de comparer les contrats d’assurances habitation, mais ils ne répondent pas aux questions que se pose l’assuré. Ainsi, pour comprendre et connaître davantage sur les contrats d’assurances habitation, il est préférable de faire face à un spécialiste.

Pour se faire, un assuré peut voir directement un courtier spécialisé dans le domaine de l’assurance, ou consulter le responsable d’une assurance dans son bureau. Le fait de parler face à face permet en effet de mieux comprendre les contrats d’assurance habitation. De plus, l’assuré peut soutenir plus de renseignements, d’informations et d’explication sur les contrats d’assurance au cas où il se pose des questions.

 

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